languageالعربية

Malla ila au festival internationale de Bizerte

Bassem Hamraoui, Sadok Halwes, Naima Jeni,  Oumaima Ben Hafsia et Fayçal Lahdhiri, protagonistes de la pièce de théâtre malla ila qui passera au festival international de Bizerte ce samedi 15 juillet 2017 étaient aujourd’hui, mardi 11 juillet 2017 les invités de Corniche sur Mosaïque FM.


Naima Jeni a assuré que Bassem Hamraoui a mérité son succès. "J’ai déjà assisté à son évolution depuis son projet de fin d’étude.   Pour notre pièce de théâtre, le nom de Sadok Halwes fait la différence".


En plus de notre présence à la télé, le scénario et le travail et la réalisation permettent d’accrocher les spectateurs, a expliqué Sadok Halwes.


Oumaima Ben Hafsia a expliqué que le travail de cette pièce de théâtre permet de dépasser l’image donnée par tous les acteurs qui sont passés à la télé.


Il n’y a pas de lobbying dans notre travail. Le travail a commencé avec Bassem, Fayçal et Karim. Mais pour des circonstances exceptionnelles, Karim a abandonné et une proposition a été faite pour intégrer Oumaima et Naima. 


Le travail collectif nécessite des acteurs unis car le one man show a dominé la scène, a expliqué Bassem Hamraoui. Les spectateurs ont eu leur dose du one man show. A chaque fois qu’on joue les spectateurs l’expriment.


Bassem Hamraoui a fait savoir qu’il y a un projet de faire une pièce classique mais avec une signature tunisienne et innovante.


Le théâtre en Tunisie est varié mais il n’y a pas de marketing et de suivi, a noté Sadok Halwes. La preuve, ce genre de pièces gagnent des prix à chaque participation dans des compétitions internationales. Il y a de bonnes salles en Tunisie mais la gestion et la maintenance n’existent pas. S’ajoute à ceci un travail qui doit être fait par les directeurs des maisons de culture et du ministère de tutelle. Plus question de faire des pièces gratuites qui   n’attirent qu’une poignée de spectateurs.


El Clinique


Naima Jeni a assuré que son passage dans El clinique fait partie de son travail d’actrice et qu’elle ne regrette rien. J’ai été appelée par plusieurs journalistes et même par la HAICA. Cette expérience ne sera pas reproduite, a-t-elle expliqué.

share